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À l’avant, le recul nécessaire par rapport sur le bâtiment du quartier Entrepreneur général saint-hubert des incendies est occupé par un stationnement, offrant ainsi le dégagement essentiel par la mise en prix du construire. À l’instar d’autres bâtiments municipaux montréalais construits dans les années 1920 et 1930, cette ancienne écurie possède une architecture issue d’un courant historiciste. Ce mouvement appelé régionaliste emprunte des éléments aux bâtiments des siècles passés afin de faire une image distinctive ancrée dans la coutume nationale. Ce construire rappelle la maison traditionnelle québécoise par s’ajuste le plus étroitement élévation d’un étage et demi, son toit à 2 versants sur le larmier incurvé, ses lucarnes à pignon et ses façades en pierre. Les grandes portes de stockage, autrefois nécessaires à l’accès des chevaux, sont présentement utilisées par les automobiles du Service de sécurité incendie de Montréal. L’architecture modeste est en accord avec la opérer utilitaire du construire.
La firme réalité le adopté dans les urbanistes municipaux, en vue de d’élever un bâtiment répondant aux exigences. L’écurie est une partie vitale d’une ferme d’élevage Yoho; sa mesure, sa conception et ses fournitures renforcent le caractère pittoresque du ranch dans son corps du parc des Rocheuses. L’écurie est située sur un terrain plat du facette nord d’une possession d’une ferme bordée d’épinettes adultes indigènes, et il ou elle domine les enclos à chevaux, sur les pâturages et sur la cabane.
L’édifice est également lié à Patrick Burns, qui a acheté le ranch Bar U en 1927 par étendre s’ajuste le supplémentaire étroitement énorme empire du bétail. Burns, un pilier de l’commerce de la transformation des viandes dans l’Ouest canadien au milieu des années 1920, a saison d’été reconnu comme personne d’importance nationale. Dans le coin supérieur correct, une espace d’accès restreint délimite un abri et un enclos établis par les soins des chevaux malades ou suspects. Des repas, de l’eau, de l’équipement et du harnachement distincts y sont entreposés et affectés aux soins et à l’entretien des chevaux.
La circulation accrue, les odeurs de fumier, l’impact sur l’approvisionnement en eau et sa qualité ne fait pas sont que quelques nuisances possibles et j’en passe. C’est facile de atténuer l’impact d’un tel aventure lorsque ce n’est pas nous qui sommes touchés de fermer. La dévaluation potentielle de sa propriété qui n’peut avoir supplémentaire le même bassin d’mécènes. Sur le plan moral en plus, et supplémentaire largement, chaque contribuable a des droits égaux.
Pour être efficaces, les mesures de biosécurité doivent être appliquées de façon cohérente. Comme les maillons d’une série, la point faible d’un seul facteur affaiblit toute la chaîne. En tant qu’élément du complexe du ranch Bar U, l’écurie des chevaux de selle est extrêmement associée à l’évolution de l’élevage en Alberta. L’écurie est parmi les premiers bâtiments érigés sur l’emplacement et constitue un ouvrage important du ranch depuis ses débuts. Construite en 1883, l’écurie des chevaux de selle est également associée au titre de George Lane, un nécessaire éleveur albertain, embauché en 1884 comme contremaître de la ferme d’élevage du ranch, pour ensuite diriger le ranch de 1902 à 1925. L’écurie des chevaux de selle est finalement associée à Patrick Burns, qui achetait le ranch Bar U en 1927 par augmenter son énorme empire du bétail.
